Voilà ce que j’ai trouvé hier chez nous, sur la panneau d’affichage à l’étage. Un petit moment de fierté pour le papa que je suis…
Alors évidemment, le classique « que penserons nos (petits-)enfants de nos choix de vie ? » (re)vient en tête. Se souviendront-ils de nous comme 1) étant restés sans penser qu’on pouvait faire autrement, passifs à ne pas se demander ce qu’on aurait pu faire mieux faire, à notre échelle ; ou alors 2) ayant cherché les alternatives existantes et ayant fait ce qu’on pouvait – pas forcément plus, mais pas moins…
On entend souvent dire que de toute façon, face à par exemple l’ampleur des défis liés à la crise environnementale, nos actions individuelles ne servent à rien, car leurs résultats sont de toute façon insignifiants. C’est mal poser à mon avis l’aspect de la responsabilité individuelle dans nos choix de vie, qu’ils soient quotidiens, décennaux ou uniques : ils doivent être faits déjà pour ce qu’ils montrent, ce qu’ils signifient. La question de leur efficacité vient ensuite. Et même s’ils semblent inefficaces, ils ont cette valeur et sont nécessaires. Tout cela demanderait un article bien plus long pour être davantage développé…
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