Diagnostic: voir cet article pour l’état d’usure de mes pneus après mes environ 8000 kms d’utilisation et peut-être 2000 kms d’utilisation de son premier propriétaire ? Il était plus que temps ;-/
Entretien: le vélomobile dans l’herbe, les caches aérodynamiques des roues (ou enjoliveurs ?!) avant enlevés, l’arrière du WAW démonté, pour accéder à l’axe de la roue… et c’est parti.
Pas de difficulté particulière: les pneus se démontent comme sur un vélo. Comme les roues sont apparentes sur ce modèle de vélomobile, l’accès est très facile. C’est certainement un peu plus difficile sur des modèles où les roues sont cachées par la coque. Comme toujours, il y a les avantages et inconvénients.
Je ne savais juste pas comment enlever le boîtier d’arrivée des commandes de mon moyeu Speedhub Rohloff, puisque ce boîtier noir doit être enlevé avant de dévisser et enlever l’axe de la roue. J’ai vu dans une vidéo en ligne le conseil de le mettre sur la vitesse 1, et ensuite c’est la grosse vis avec l’empreinte fendue, à dévisser avec les doigts ou une pièce de monnaie dans l’empreinte.
C’est l’occasion de nettoyer l’intérieur de cette partie arrière, qui s’encrasse quand même bien, au fil des milliers de kilomètres.
Côté pneumatiques, le choix dépend de l’utilisation, avec là également les avantages et inconvénients. De mon côté, je ne cherche pas la performance mais l’endurance: comme en single speed, avec mon trike auparavant, je reste fidèle aux (presque) increvables Marathon plus. Comme cela, je suis tranquille de ne pas avoir à devoir changer une chambre à air au bord de la route, au détriment de davantage de frottements et de leur poids. En 20 x 1.35 (35-406) à l’avant, 26 x 1.35 (35-559) à l’arrière. Dans mon cas au total 117 €… avec les plus petits pneus avant plus chers que l’arrière de taille plus habituelle !
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