Hier, voilà ce que j’ai trouvé sur la panneau d’affichage à l’étage 😉
Alors évidemment, le classique « que penserons nos (petits-)enfants de nos choix de vie? » (re)vient en tête. Se souviendront-ils de nous comme 1) ils sont restés dans la norme de ceux qui n’ont pas pensé qu’on pouvait faire autrement; ils sont restés passifs à ne pas se demander ce qu’ils pouvaient faire; uu alors 2) ils ont cherché les alternatives existantes et ont fait ce qu’ils pouvaient.
On entend souvent dire que de toute façon, face à par exemple l’ampleur des défis liés à la crise environnementale, nos actions individuelles ne servent à rien, car leurs résultats sont de toute façon insignifiants. C’est mal poser à mon avis l’aspect de la responsabilité individuelle dans nos choix de vie, qu’ils soient quotidiens, décennaux ou uniques: ils doivent être faits déjà pour ce qu’ils montrent, ce qu’ils signifient. La question de leur efficacité vient ensuite.
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