A force d’entendre parler de réchauffement climatique lié à nos émissions de CO2, qu’on utilise trop d’énergie (de manière générale), en grande partie non-renouvelable, et qu’on sait qu’il existe des alternatives, bein à un moment il faut bouger – ou pas – en sachant pourquoi, et savoir ce qu’on dira à nos enfants!
Le processus chez moi fut graduel, sur de nombreuses années… D’abord quelques fois par semaine au travail à vélo, mais en utilisant encore quand même souvent la voiture (avec toujours une bonne raison de le faire, comme une course par-ci, un passage par-là), ensuite un peu moins, ensuite du télétravail (avant la pandémie!)… mais il restait encore les déplacements le soir, quand il pleut, et ceux dans le rayon 20-40 kms pas faits à vélo.
Le vélomobile étant LE moyen de déplacement le plus efficace énergétiquement parlant, je suis parti sur cette option.
Résultat, depuis début 2023 (état au 31.12.2023, avec env. 3 mois de non-utilisation):
(de 10+ kilomètres aller, pour lesquels je n'aurais jamais pris mon vélo droit)
Et je pourrais parler de décarbonner nos déplacements, car ma femme s’y est tout-de-suite mise. On a la même taille, sinon c’est impossible (on peut régler la position des pédales par rapport à la taille du cycliste, mais cela demande de régler également la longueur de chaîne). Donc parfois, elle le prend également et il sort par exemple 2 fois dans la même journée. Le top.
Le fun
La pêche
Retour à la maison un soir tard, d’une réunion associative – le genre de trajet typique que je faisais avant en voiture, et que je fais maintenant toujours en vélomobile, par tous les temps. Ici le toit, qui protège de la pluie et peut être rangé plié à l’arrière, est levé pour entrer ou sortir du vélomobile.
Ça donne la pêche, c’est bon pour le physique et le moral que d’être davantage en mouvement – au propre comme au figuré.